Avis Lyon 69001

Mon meilleur choix de 2023, avoir disparu des radars de cette ville absolument antipathique , je parle de la pollution de l'air (atroce) et de l'eau (extremement calcaire pour la peau, impossible à boire, obligé de prendre de l'eau de source même pour faire le café, les pâtes, etc), ensuite son cout de la vie faramineux, entre loyers, prestations, magasins, alimentation, son peu d'espaces verts, s'il n'y avait pas le Parc de la Tete d'Or, eh bien....
En bien, en positif, oui il en faut aussi, la ville est quand meme pas vilaine du tout, enfin, ne vous attardez pas dans les banlieues est ou sud, laides et gangrénées par des populations guère engageantes. Ici les populations se mélangent encore moins, contrairement à Marseille, par exemple. (quoi qu'on pense de Marseille, autre sujet)
Il y a des emplois à pourvoir , c'est certain.
Transports en communs, métro B qui ne fonctionne qu'un jour sur 3 ! Impots qui coutent un pognon de dingue!
On croit etre loin de rien mais c'est faux, faut au moins rouler une heure pour échapper à cet enfer et trouver des coins charmants (Drôme, Ardèche, Saône et Loire, Savoie...). Les étés sont atroces, un four dans le béton.
Pas tendre? Non, car très déçu de cette métropole qui se prend pour ce qu'elle n'est pas, je préfère même encore Paris ( habitants plus ouverts!!)
On s'est installés direction un petit coin calme des Pyrénées-Atlantiques,. Montagne aux pieds, et océan proche. C'est complètement différent, pas parfait, mais agréable, on a l'impression plus sereine d'avoir d'etre revenus avec des gens ''normaux''.

Je trouve les rues de la ville de Lyon sale. On trouve plein de déchets sur les trottoirs, des déchets cachés dans les buissons.
Les parcs ne sont pas.propres non plus.
Quel dommage, notre ville n'attire plus

Emplacement entre Europe du Nord et du Sud, belle ville entre Rhône et Saône, ... mais ville qui comme toutes les métropoles se dégrade rapidement, trafics, saleté, bruit, gestion erratique par les élus verts qui ont centré toute leur politique sur l'interdiction de la voiture sans avoir suffisamment prévu et anticipé les investissements alternatifs à part le vélo et les trottinettes, c'est donc un peu court ! travaux pour détruire les chaussées en mettant des obstacles sur les voies stratégiques en termes de flux faisant que l'avantage qui faisait que sortir ou entrer dans Lyon était assez facile est devenu délirant, parkings relais saturés, transports en commun bondés, sous dimensionnés et très chers pour la qualité de service, pas d'adaptation aux flux de passagers, incivilités, fermeture de commissariats, police municipale absente du terrain aux heures de fortes nuisances la nuit et le week end ... quel gâchis !

Lyon en réumé : ville ou l'on vient pour ''bosser'', un point c'est tout.
A toujours été considérée comme ville industrieuse et laborieuse, dans le secteur La Part Dieu, voire actuellemnt maintenant dans le 7ème (l'horrible quartier des Girondins, concours de laideur architecturale déprimante). Le tertiaire s'est aussi beaucoup développé (engendrant une multitude de bull-shit jobs qu'occupe une bonne partie de la population).
Population plutôt jeune (passé la cinquantaine, ça peut etre pour certains un inconvénient), conventionnelle et suiveuse (''moutonnière''). Ici, les maux en ''isme'' de ce début de décennie y font des ravages (wokisme-lgbtisme, féminisme, mondialisme-globalisme'', écologisme- réchauffisme, covidisme, j'en oublie--) au final toutes ces tares se rejoignent pour n'en faire qu'une salade avariée).
Globalement, population oscillant entre une froideur indifferente et , on l'a vu, ce côté assez servile.
Etés caniculaires, épouvantables, hiver : vent et pluie glaciale. Automne et printemps très sympa.
La ville centre est jolie, les 2 fleuves, les ponts, Fourvière, de chouettes points de vue. Vie trop chere, loyers indécents. Bizarrement, quelque chose ne se fait pas, ici. On en part au bout de quelques années.

Je suis lyonnais de naissance, nourri à l'andouillette. Lyon est la ville la plus sombre et la plus dure de France, vous avez raison. Et encore, vous avez de la chance. Vous avez échappé aux 120 braquages avec violence (2 morts) perpétrés dans la ville dans les années 80. Pour pouvoir vivre à Lyon, il faut des tripes (sans jeu de mots) et du sang-froid. Quant à la gestion actuelle de la municipalité, j'hésite entre "Apocalypse now "et "En territoire ennemi". Mais qui a dit que les politiciens étaient honnêtes et compétents ? Rien d'anormal. Alors, si vous n'avez pas un mental d'acier parce que vous n'avez pas été nourri à l'andouillette, vous ne tiendrez pas cinq minutes. A part ça, nous, les lyonnais nés à Lyon, on est pas des mauvais bougres. On vous souhaite la bienvenue. Et bonne chance à vous 🤣

Témoignage anonyme : Mon expérience de 9 ans à Lyon

Quand je suis arrivée à Lyon à 18 ans, j’étais pleine d’espoir. J’avais envie de quitter le Nord de la France, où j’avais grandi, car j’en avais assez de la météo grise, des briques rouges omniprésentes et de l’impression d’être enfermée dans une routine. J’avais entendu tellement de bien de Lyon, notamment par la personne avec qui j’étais en couple à l’époque, que j’étais persuadée d’y trouver une ville lumineuse, dynamique et pleine d’opportunités.

Dès mon arrivée, j’ai été frappée par la beauté architecturale de Lyon. Les immeubles haussmanniens, les grandes places éclairées, la Presqu’île animée… tout me paraissait majestueux. Je pensais que c’était le début d’une belle aventure. Pourtant, très vite, j’ai déchanté.

Le premier choc : la froideur et l’individualisme

Dès les premières semaines, j’ai senti une distance sociale qui m’a perturbée. Dans le Nord, et encore plus en Belgique où je sortais souvent, les gens sont naturellement chaleureux, accueillants, généreux. À Lyon, j’ai découvert une mentalité où chacun reste dans son cercle, où l’on ne se mélange pas, où les rapports sont intéressés et calculés.

Un détail qui m’a frappée dès mon arrivée ? Les portions de nourriture ridiculement petites dans les restaurants et les snacks. Ça peut sembler anodin, mais dans le Nord, quand tu commandes un plat, on ne lésine pas sur les quantités. C’est une question de générosité et de partage. À Lyon, j’ai eu l’impression que tout était compté, mesuré, et ça m’a marquée, car c’était un reflet parfait de l’état d’esprit ambiant.

Une solitude pesante et une sociabilité de façade

Les premières années ont été supportables parce que j’étais étudiante et en couple. Mais dès que j’ai quitté mon cadre scolaire, vers 21-23 ans, la solitude est devenue écrasante. J’ai essayé de m’intégrer par différents moyens : salles de sport, club de boxe, événements… mais partout, j’ai retrouvé cette même froideur.

Dans les clubs de sport, les gens ne se parlaient pas. À la boxe, l’ambiance était carrément malsaine : soit des mecs refusaient de s’entraîner avec moi parce que j’étais une femme, soit ils profitaient du combat pour cogner bien plus fort que nécessaire.

J’ai aussi remarqué un phénomène étrange : à Lyon, les amitiés sont très souvent superficielles et temporaires. Dans le Nord, mes amis de fac sont restés mes amis après nos études. À Lyon, une fois que les cours étaient finis, 99 % des relations s’évaporaient. C’était comme si les liens d’amitié n’existaient que dans un cadre précis, sans réelle profondeur.

Lyon : une ville qui te broie si tu ne corresponds pas à son moule

Je pense qu’à Lyon, on attend de toi un certain conformisme social. Il faut être dans les bons cercles, avoir les bonnes fréquentations, ne pas trop déranger. Les Lyonnais ont leurs amis d’enfance et n’ont pas forcément envie d’accueillir de nouvelles personnes.

J’ai eu beaucoup de déceptions amicales. Des gens qui profitaient de moi quand j’avais un appartement et que je recevais, mais qui disparaissaient dès que je n’avais plus rien à leur offrir. Des “amis” qui oubliaient leur carte bancaire dès qu’on sortait manger, me laissant toujours payer.

Avec le temps, cette ambiance m’a changée. À force de vivre dans une ville où je ne me sentais pas à ma place, où l’individualisme régnait, j’ai moi-même commencé à devenir plus méfiante, plus froide. Je sentais que Lyon me transformait en une version de moi-même que je n’aimais pas.

Le racisme ordinaire et l’agressivité ambiante

En tant que personne d’origine maghrébine, j’ai aussi été confrontée à un racisme insidieux. Les gens ne me voyaient qu’à travers le prisme de mes origines. Peu de gens cherchaient à découvrir qui j’étais vraiment, au-delà de mon apparence.

Mais ce qui m’a le plus choquée, c’est la violence présente dans la ville. J’ai vécu des situations invraisemblables :
• Un homme en voiture qui tournait en boucle en centre-ville pour essayer d’embarquer des filles ivres. J’ai dû crier et m’interposer pour qu’il prenne peur et s’en aille.
• Des types qui te suivent dans la rue, qui te tirent par le bras, qui te proposent de l’argent pour des choses obscènes.
• Des bagarres, des mecs qui cassent des bouteilles en pleine rue sans raison, des halls d’immeubles utilisés comme toilettes publiques.

Avec les années, la ville s’est dégradée. Là où, à mes débuts, les places du centre-ville étaient animées et festives, elles sont aujourd’hui le théâtre de violences, d’incivilités et d’une tension permanente. Il y a 10 ans, tu pouvais sortir à Bellecour ou aux Terreaux sans souci. Aujourd’hui, il faut être vigilant à chaque instant.

Le monde du travail à Lyon : exploitation et faux espoirs

Professionnellement, Lyon a été une autre désillusion. J’ai travaillé dans des start-ups qui te promettent monts et merveilles mais qui, en réalité, t’exploitent et te jettent quand elles n’ont plus besoin de toi. C’est un piège pour les jeunes qui pensent qu’ils vont “faire carrière” alors qu’ils servent juste à faire tourner la machine à bas coût.

L’impact psychologique : une ville anxiogène qui laisse des traces

Lyon ne m’a pas seulement rendue malheureuse, elle m’a laissée avec des séquelles. J’y ai vécu une période de grande anxiété, au point de devoir prendre des médicaments et suivre une thérapie pour aller mieux. Cette ville est lourde, pesante, toxique. Même en étant partie, je ressens encore parfois le poids de cette ambiance qui m’a marquée pendant des années.

Le déclic : partir pour respirer à nouveau

Après mon dernier diplôme, j’ai compris que c’était fini. Neuf ans dans une ville sans jamais réussir à m’y sentir bien, ça en disait long. Lyon ne voulait pas de moi, et moi, je ne voulais plus d’elle.

J’ai tout quitté. Aujourd’hui, je vis ailleurs, dans un endroit où la nature est plus présente, où l’ambiance est plus saine. Et la différence est flagrante. Je me rends compte à quel point Lyon m’avait épuisée, enfermée, changée.

Je ne dirai pas que Lyon est une mauvaise ville pour tout le monde. Certains y trouveront leur bonheur. Mais si vous êtes une personne sociable, qui aime la chaleur humaine, qui a besoin d’un environnement bienveillant pour s’épanouir, alors réfléchissez bien avant de vous installer à Lyon. Parce que cette ville peut être magnifique en surface… mais terriblement toxique en profondeur.

Si vous avez le choix, si vous hésitez entre plusieurs villes, fuyez. Allez ailleurs, allez à l’international si vous le pouvez. Profitez d’un Erasmus, d’une opportunité d’études ou de travail à l’étranger. Mais ne vous enfermez pas à Lyon, sauf si vous n’avez vraiment pas d’autre option.

Parce que partir a été la meilleure décision de ma vie.

Ville sale la mairie écolo est en train de saboter la ville
On veut mettre les voitures dehors mais quelles incivilités des cyclistes utilisateurs de trottinette qui se croient tout permis contre sens grillent feux rouge
Vous insultent quand vous êtes sur leur passage
Les petits commerçants ont du souci à se faire
Merci Mr le maire

J'y vis depuis 15 ans et ça devient apocalyptique ! Insécurité, saleté dans les rues nuisances induite à une gestion de élus qui ne pensent qu'a dilapider des fortunes en pistes cyclables. Des troitoirs envahis par des trottinettes électriques qui jouent aux quilles avec des braves piétons. Il faut être inconscient pour y venir maintenant !!!

Cette ville a bien changé. Des travaux incessants perturbent la circulation. Les reports d'arrêt de bus sont mal indiqués et l'on s'y perd. Pas assez d'informations.
Par ailleurs, tout est très cher et la plupart du temps, surpayé.
Bref, c'était autrefois une ville agréable.
Ce n'est plus le cas.