Avis Dijon 21000

Le centre ville est bétonnée ,les quartiers sont défigurés par les nouvelles constructions. Les jardins particuliers avec parfois de vieux et beaux arbres sont détruits pour laisser place à des immeubles sans espaces verts véritables. Circulation saturée. Oui il y a quelques pars et jardins publiques! Les écoles de quartiers ferment. Le réseau de transport en commun est lent, et ne relie pas les quartiers entre eux. Les tarifs des piscines sont stratosphériques.

Le centre ville pieton est pittoresque et agréable pour se balader. Mais il est de moins en moins abordable financièrement (stationnement très cher par exemple)

Dijon c'est une ville spécial. C'est une ville qui ce vente d'être vert mais qui bétonne a gogo. C'est une ville qui ne vois pas plus loin que son nombril est qui pense qu'il son unique est que tout tourne autour d'eux. C'est une ville avec beaucoup de délinquant. C'est une ville avec pas mal d'embouteillage. Il y a mieux comme ville ailleurs pour y vivre.

Points positifs : je n'ai pas eu à me plaindre quand à la quantité d'infrastructures, tant au niveau des loisirs que des commerces ou des services publics . Cela reste à mes yeux le principal point fort de la ville.
Son patrimoine et la nature environnante peuvent s'avérer sympa à découvrir.

Points négatifs : la réputation "pète-sec "de certains habitants n'est malheureusement pas infondée partout.Cependant cela ne s'applique pas à toute la population et hélas peut se retrouver dans certains autres territoires/villes .
Attention au risque d'insécurité qui s'accroît entre Toison d'Or et République.
Le délai d'attente chez certains spécialistes (ophtalmo ...) peut se révéler long mais cela est le cas partout en France j'imagine .

Le point positif c’est la beauté du centre ville et les infrastructures (sport et culture)
Le gros, gros point négatif ce sont les dijonnais… vraiment pas agréables et fermés. C’est pesant pour les gens qui essayent de s’intégrer dans la ville, et il ne faut pas s’étonner de la réputation des habitants. Plus que justifiée, elle répond bien de l’expression « il n’y a pas de fumée sans feu »

Positif : le tram pour se déplacer. Négatif : impossible de trouver une place pour se stationner en ville, et beaucoup trop de zones piétonnes en centre-ville (impossible de s'y rendre en voiture). Beaucoup de racailles et les Dijonnais ne sont pas sympas (mauvais accueil). Petits (faux) bourgeois.

Franchement la mentalité dijonnaise est à la hauteur de sa moutarde, c est à dire piquante, ville moche et grise, population d abrutis et de cas sociaux se prenant pour des Monegasques, ville à fuir

Plus grosse ville Universitaire de la région Bourgogne Franche-Comté, Dijon est une ville agréable pour les élèves et étudiants qui trouvent le nécessaire pour étudier, se déplacer, se divertir et s'enrichir culturellement. Dijon est une ville très sportive dont les équipes collectives côtoient le plus haut niveau national (Foot professionnel Garçons et Filles, Basket au niveau TOP 16 européen, Handball F Elite et G Proligue, Rugby niveau national, cyclisme, judo, Gymnastique féminine..) Dijon bénéficie de toutes les infrastructures sportives et a déjà été élue dans le passé, ville la plus sportive de France.
Dijon est un carrefour autoroutier, ferrovière et les aéroports internationaux restent accessibles (Dole, 40 min, Paris 1h40, Lyon <1h, Genève)..
Le point noir reste la bétonisation de la ville, malgré l'hostilité d'une partie grandissante de la population. Le centre-ville est "minéral", sans herbes, verdure ou ombre. Les espaces naturels, parcs, friches, petites maisons, les terres agricoles sont phagocytés par les promoteurs immobiliers sans réelle harmonie architecturale et même les chapelles sont rasées Le béton coule à flot pendant que la municipalité colle le préfixe "eco" sur tous ses projets. .. Eco-quartiers, EcoPark (pour une Zone d'activité), Ecocitée..
Les problèmes liés à la sécurité sont ceux d'une ville de cette taille, mais on se promène la nuit sans danger.

Ville qui plonge dans l’insécurité sans que ça n’alarme les pouvoirs publics qui préfèrent « investir » dans des projets artistiques douteux payés avec l’argent du contribuable.