Avis Cabriès 13480

4

Marseille, c'est vraiment une ville qui bouge et qui s'améliore de jour en jour ! Malgré les problèmes de sécurité qu'on peut entendre parfois, je trouve que la ville s'est beaucoup améliorée sur plein de points. Niveau transports, par exemple, l'extension du tramway 3 vers les quartiers nord a été une super idée. Ça facilite vraiment la vie des habitants et rend les déplacements plus simples. Et puis, on voit de plus en plus de pistes cyclables et de services de vélos et trottinettes électriques, c'est top ! Côté services, on a de plus en plus de choix à Marseille. Des restos sympas aux boutiques branchées, il y a toujours quelque chose de nouveau qui ouvre. Franchement, ça rend la ville super vivante et conviviale. Pour la culture, on n'est pas en reste non plus. Entre les musées, les concerts et les expos, on a de quoi s'occuper. Et puis, il y a toujours des festivals et événements qui se passent, ça rend la ville super animée. Enfin, je suis content de voir que beaucoup de quartiers ont été refaits et sont devenus plus propres. On sent que la ville fait des efforts pour améliorer le cadre de vie des Marseillais. Et franchement, ça fait du bien à voir ! Bref, Marseille, c'est une ville qui a plein de choses à offrir et qui s'améliore vraiment. On peut être fiers de notre ville, et j'ai hâte de voir ce qu'elle nous réserve pour les années à venir !

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3.6

Ville agréable, mais qui laisse partir ses petits commerces. Dans mon quartier, 7 ont fermés en 6 ans. Rues jonchée d'excrements canin. Dommage. Belles balades à faire en bord d'étang et plutôt dynamique en terme d'animations en tout genre.

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4.6

je suis une pure Saussetoise depuis ma naissance et je suis fière de l'être, commune très agréable, bordée par ses petites plages, corniches, sentiers.

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0.4

Cette ville m'a enfoncé + que je ne l'étais déjà. Ayant fuis ma cambrousse natale où il devrait être interdit d'y habiter entre 10 et 50 ans (sauf les parents qui voudraient y faire grandir leurs gosses entre la naissance et 10 ans, ou alors élevés par les grands parents 😃🤣), totalement émerveillé les premiers jours voire premières semaines (en été) avec les calanques, cigales, mer (je n'y allais pas au début mais bref elle est magnifique depuis les calanques, du bleu à l'infini), quand j'ai emménagé dans un p*tain de studio bidon dans le 1er, la réalité de cette ville maudite m'a pété à la gueule. Marseille ce n'est pas un village provençal avec les grillons, le farniente, les chapeaux de paille... C'est une ville de désolation, d'hypocrisie, d'entre-soi, de violences gratuites... Presque six ans après (en incluant les six derniers mois actuels depuis que j'ai fuis à la Ciotat) je suis à terre, peut-être encore moins de confiance en moi qu'en étant arrivé en catastrophe ici. Les premiers jours j'avais été bien accueilli partout où j'ai atterri (dans le 8ème je précise, j'avais repéré un endroit dans le 15ème vers gèze, j'ai "au moins" échappé à ça -ou alors ça m'aurait permis de ne pas rester ici, un mal pour un bien), après cette période d'euphorie les gens cessent de prendre des pincettes avec vous et enlèvent le masque qui cachent qui ils sont, c'est à dire des gens qui écrasent les autres. J'ai "travaillé" dans un restaurant "pédagogique" à sainte anne 8ème pour ne pas le nommer lol (les connaisseurs sauront) pendant quelques mois, quelque chose fait au final pour les jeunes réfugié(e)s pour leur permettre de s'intégrer, obtenir les papiers j'imagine et tout et tout. Moi j'avais demandé à la mission locale (qui sert à que dalle si on ne sait pas EXACTEMENT ce que l'on veut et si on ne les intimide pas pour obtenir ce que l'on veut, c'est marseille bébé, faut pas le dire mais ça marche comme ça, comme au quartier. Tant mieux pour ceux qui en sortent gagnants, faut avoir le mental, encore + que le physique, fixer droit dans les yeux, très bonne élocution, voix grave, agir en conséquence selon les situations...) de bosser dans un restau en temps que job alimentaire pour un temps, eux ils m'ont foutu sans se poser de questions dans un schéma en mode "parcours de vie, insertion"... Euh okay mais pas concerné. Bref restau à deux balles fréquenté par des bouffons perchés dans leur monde de fonctionnaire dans leur 'tit quartier bien français ou travaillent des jeunes totalement étrangers payés au lance pierre (300-400 balles pour 30h par semaine) géré par des gens infects qui ont bien vus que je n'y avais pas ma place et donc dégueu avec moi (un ferme ta gueule un jour par le type censé être un "pédagogue" un certain jean christophe bref) Ensuite j'ai intégré un bidule bidon de six mois, le "daveqe" rattaché à apprenti d'auteuil. Alors là... Suivi par une meuf jeune trentenaire qui a cru être bonne dans ce qu'elle faisait, c'est à dire faire des CV et lettres de motivation à rallonge, faire des missions d'intérim à la con qui m'auront rapporté quelque chose comme 400 ou 500 balles en deux mois (deux-trois petites heures par ci par là, ça s'arrêtait là), et meuf satisfaite de m'avoir fait intégrer (alors que trouvé par mon conseiller de la mission locale, que je ne voyais que très peu) une formation artistique qui a agit pareil que les habitants, balance des paillettes au départ puis au final c'est dégage de là, rideaux (sauf pour ceux qui ont su comme pour la mission locale bien ouvrir leur gueule et brosser dans le sens du poil le führer qui sert de directeur.) Et m'aura fait chialer (une fois seul chez moi) à ne pas pouvoir s'empêcher de me rappeler que mon père me verse des liquidités quand il le faut (je dis bien quand il le faut, comme une grande partie des gens, sorry not sorry sal*pe), en se basant sur ce que je pouvais lui dire. Car bien sûr elle ne pouvait s'empêcher de me rappeler, comme si je ne m'intéressais pas aux autres, à quel point certains sont encore + dans la merde que moi. What? Ça mérite que tu me parles comme à un gosse de six piges à la première occasion que tu juges bonne? Payée pour ça quoi... La formation dont j'ai fait allusion, deux ans qu'elle est terminée, deux ans que le grand maître, le père de la nation me laisse livré à moi-même, mais certainement pas le même agissement pour ses petits protégés. Il est l'allégorie de cette ville, grand orateur, mais que du vent 🌬️, grande gueule qui intimide oralement (pas physiquement car de 1) il ne l'a pas lol 2)pour ne pas être clairement dans l'illégalité) ses détracteurs pour les museler, car il sait que beaucoup de temps se reposent sur lui d'une façon ou d'une autre... Voilà, ce n'est pas mon premier avis sur cette ville sur ce site, j'ai voulu la décrire par le biais autobiographique, ça soulage 😌🖕 Ça va finir en bouquin 📚 et + encore 💿📀🕺🎥🎬📽️📹💰

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